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Les armes qui sont disponibles pour les missions autonomes
sont généralement des armes de deuxième choix, non standard ou utilisant
des munitions non standard. Les armes de premier choix et les armes standard restent
dans les mains des militaires, dans l’éventualité d’une attaque
sur l’abri.
Ainsi, les missions autonomes sont dotées principalement d’armes
civiles ou déclassées (fusils semi-automatiques ou à culasse, fusil de
chasse, armes de poing, pistolets-mitrailleurs), pour lesquels on ne dispose
pas de beaucoup de munitions ni de pieces de rechange.
Même si les membres des missions ne sont pas tous armés, tous
sont dotés d’armes blanches (generalement un couteau de survie ou une
baionette) pour la défense rapprochée, le désamorcage des mines et des
pièges et autres usages eventuels.
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Les missions sont généralement amenées à compléter leur équipement
sur le terrain, et la recherche d’armes est une priorité.
Malheureusement, la plupart des armes de la surface sont déjà
dans les mains des chasseurs et des survivants, et les munitions ont déjà
été en grande partie utilisées. Les chasseurs emploient de plus en plus
d’armes de trait comme les arcs et les arbalètes contre les survivants,
mais reviennent aux armes à feu lorsqu’il s’agit de traquer des missions
extérieures.
Tous les membres des missions extérieures sont dotés de gilets
pare-balle de la police ou de l’armée, ce qui constitue un avantage certain
dans le combat.
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Les armes à air comprimé (fusil ou arme de poing) envoient
des flechettes empoisonées qu’il est facile de produire. Néanmoins, ces
armes ne sont efficaces que contre la peau nue, qui dans le contexte de
l’hiver nucléaire ne se trouve que sur le visage.
Des immobilisateurs electriques rechargeables peuvent être
employé dans le combat au corps à corps. C’est une arme qui devient létale
lorsqu’on laisse la personne immobilisée dans le froid.
Bombes lacrymogènes et bombes à fumée peuvent procurer un avantage
décisif lors du combat, ou permettent de fuir.
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Beaucoup de pièges ont été mis en place par des chasseurs,
soit pour capturer leurs proies humaines (filets, trappes, pieux, flèches
etc.), soit pour protéger leur tanière ou leurs biens (garde-manger piegé,
passages herissés de pointes etc.). Ces pièges sont souvent ingénieux et très bien camouflés,
à tel point que d’autres chasseurs expériementés y succombent.
Quelques chasseurs audacieux ou desperés mettent des embuscades
en place sur le lieu de passage des missions (arbres renversés, fossés
etc.) dont il faut toujours se méfier.
Enfin, d’autres dangers menacent les missions à l’extérieur
:
- Certains barrages policiers des premières semaines de
l’Apocalypse sont toujours en place, leurs pointes métalliques ensevelies
sous la neige.
- La glace a brisé de nombreuses canalisations sur lesquels
passent des routes, creant des fossés dangereux.
- Les forces armées des premiers jours ont miné certains
terrains et passages pour se protéger du flux de réfugiés, mines que
personne n’a retiré depuis.
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